démocratie

  • La comédie de la démocratie en Afrique Francophone : Classement

    La comédie de la démocratie en Afrique Francophone : Classement

    Une nouvelle étude menée par les analystes d’IMANI Francophone peint une image pas favorable de la vie démocratique des pays de l’Afrique de l’Ouest Francophone avec comme tendance majeure la prolifération des formations politiques « inutiles ».

  • Sept mythes sur la démocratie au Maroc

    Sept mythes sur la démocratie au Maroc

    Le Maroc : stable, réformiste, et avance à pas lents vers la démocratie, n’est-ce pas? Faux. Quelques mythes communs démystifiés. A en juger par les récits des médias et les rapports de think tanks, de nombreux commentateurs étrangers semblent incapables (ou ne veulent pas) raisonner au-delà de l’image réformiste que les autorités marocaines cherchent à projeter à l’étranger. Ce bref article, basé sur un séjour de recherche de 6 mois dans le pays, vise à démystifier sept mythes courants sur la prétendue transition démocratique au Maroc.

  • Les Tanzaniens étaient plus de 19 millions et demi d'électeurs en Tanzanie continentale et pru00e8s de 408 000 inscrits u00e0 Zanzibar pour le scrutin de 2010. Crédits Photo: Reuters

    Des élections libres et concurrentielles font-elles une démocratie ? Pas si sûr...

    La Tanzanie ressemble beaucoup à une démocratie car elle tient des élections multipartites depuis 1995 et les observateurs internationaux les ont jugées libres et concurrentielles. Mais selon certains experts, la Tanzanie est, en réalité, sur une pente glissante vers l'autocratie.

  • Défis, atouts et opportunités d'investissement dans la « Nouvelle Tunisie »

    Environ un an et demi après la révolution, la Tunisie ne cesse d'exprimer sa conscience de ce qui l'attend à la lumière des difficultés socio-économiques (chômage, développement régional, sécurité). Les atouts et les opportunités d'investissement en Tunisie dépendront étroitement de la capacité de ce pays à affronter ces enjeux.

  • Le Mali, victime du poison démocratique

    Si l impérialisme occidental voulait détruire les nouveaux États africains, il a en partie réussi son coup. Grâce au poison très efficace qu est la « démocratie ». Un concept aussi abstrait que flou qui, au lieu de favoriser l égalité ou le mérite, n a fait qu accentuer la division et la corruption dans des sociétés déjà? gangrénées par des clivages ethniques ou de castes.

  • Mali : Les « démocrates » de la honte

    Pendant que le Mali brûle et s effondre au Nord, certaines BETES POLITIQUES croient bon de PARALYSER LE PAYS au nom de la « démocratie ». Ils s en vont jusqu à soutenir la scélérate décision de la CEDEAO de mettre leur pays sous un EMBARGO qui, dans le meilleur des cas, ne contribuera qu à exposer davantage leur pays à une EXPROPRIATION SAVAMMENT PLANIFIÉE par la FRANCE, se servant à la fois des rebelles et des islamistes dans un scénario particulièrement diabolique.

  • Maroc : Un gouvernement de rupture ?

    Après 35 jours d'attente, le trentième gouvernement dans l'histoire du Royaume chérifien a été nommé le 10 janvier dernier par le Roi Mohamed VI. Ce gouvernement cristallise beaucoup d'attentes et suscite beaucoup d'espoirs de la part des marocains qui ont voté pour un vrai changement de la pratique politique. à cet égard, le chef du nouveau gouvernement n'a pas été avare en promesses, s'engageant à rompre avec les pratiques passées en matière de composition du gouvernement et de répartition des portefeuilles ministériels. Peut-on vraiment parler d'un gouvernement de rupture à ce niveau-là?

  • Islamistes au Maroc : pourquoi un tel succès ?

    Suite au large succès du Parti pour la Justice et le Développement (PJD) lors des législatives au Maroc, on peut penser à un vote résultant d'un effet de mode suite au printemps arabe qui a vu l'émergence d'un islamisme politique comme une force avec laquelle il faut compter.

  • Lybie : les droits de l'Homme plus forts que l'essor économique ?

    Avec les tragédies libyenne et ivoirienne, le continent africain, une fois de plus, a montré à la face du monde que le manque d'alternance, avec une dictature, est préjudiciable pour les populations. Malgré un certain niveau de bien-être social la Libye n'aurait pas échappé à cette situation, d'où le mécontentement d'une partie des Libyens, Kadhafi ayant favorisé le « tribalisme économique ».

  • Démocratie arabe : des fondations fragiles

    Les manifestants qui ont renversé ou menacé les dictateurs arabes demandent davantage de libertés, des élections justes et des mesures anti-corruption. Mais ils n'ont pas affiché une idéologie distincte, et encore moins cohérente. C'est parce que les organisations privées n ont joué qu un rôle périphérique et que les manifestations n ont pas eu de leaders avec une certaine stature.

  • Afrique : Pourquoi organiser des élections?

    L'année 2011 constitue, comme 2010, une année électorale majeure sur le continent africain. Selon le calendrier, il y a théoriquement au moins dix élections présidentielles dans des pays différents cette année. Cependant, après les crises postélectorales au Kenya, au Zimbabwe ou plus fraichement en Côte d'Ivoire, certains y voient un échec de la volonté d'organiser des élections et contestent par suite l'engouement qui leur est réservé.

  • Tunisie : Une révolution sociale pour la liberté... d'entreprendre

    Les voix particulièrement audibles de la gauche tunisienne, sous les slogans en faveur de la redistribution des richesses, ne pourraient-elles nous faire oublier le sens profond du point de départ de la révolution tunisienne ?